Matza Di Lourde
Traiter l’ignorance
Les arrondis, croyez-moi
Sont pour la pure moquerie
Qui habite toujours en moi
L’ombre
mais je ne suis pas
un miroir pour vous
Celui de moi
Pas une seule chatte en toi
Je vous aime !
Quand je suis née,
j’étais déjà une femme
Aujourd’hui,
parce que vous veulent m’arrêter
Je me perds dans l’enfance
Et cet enfant ne te reposera pas
Vous avez l’ignorance
comme adresse,
et comme châtiment,
ce qu’Allah vous assure,
Pas moi, qui ne fais qu’écrire
Sûrementà livre ouvert
de cet inconscient collectif
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