Lídia Pastor
Miroir de moi
Tu avais une façon innovante
et ancienne de coller à mes pensées...
Le timbre résonnait comme autrefois.
Tu m’appelais intimement : fleur, douce,
Sans prétention et sans peur,
et je suis devenue la douce fleur
que tu voyais en moi.
Où es-tu, chéri, perdu dans le temps, loin de moi ?
Tant d’eau, tant de mer,
tant de terre et tant de ciel.
Et de l’autre côté de la vie,
dans l’or des souvenirs,
je t’entends m’appeler : fleur, doux et,
secrètement, je deviens une chèvre
pour ceux qui veulent se perdre en moi.
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